C'est beau de rêver...

Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a affiché lundi sa conviction qu'il pouvait remporter l'élection présidentielle de 2007, dans un scénario où il devancerait Nicolas Sarkozy au premier tour et battrait Ségolène Royal au second.

"Je vais probablement (insistons bien sur ce mot) être au deuxième tour de l'élection présidentielle", mais "à la différence de 2002, je peux gagner l'élection (encore faut-il le vouloir), car je serai probablement opposé à la candidate de gauche",(saint Jean-Marie,dites nous de quoi l'avenir sera fait...) a déclaré M. Le Pen lors de ses voeux à la presse, au siège de son parti à Saint-Cloud.

Luc FERRY parlait récemment d'une «déculpabilisation» du vote FN chez les Français. Ce qui, selon lui, ne veut pas dire que «Le Pen est forcément en progression».

Christophe Barbier, expliquait sur LCI (15.12) que ce qui était très haut «en ce moment», ce n'était pas les intentions de vote pour le FN, mais «l'envie de jouer à se faire peur, avec un Le Pen ( la star du système, on vous dit...) qui récidiverait un 21 avril»,

voici un bien drôle de personnage qui vie dans un pays imaginaire,

un pays où les convictions ne se mêlent surtout pas à l'action.

oh bah oui hein, c'est mieux de contester, pourquoi se bouger ?

pas vrai Jean-Marie ?